J'avance dans mon garage,j'y vois encore ce gros véhicule que le firme m'a offert. Je n'y ai jamais touché, bien trop gros , bien trop compliqué on m'avait mis en garde dès mes débuts sur la rouge. On me disait : "ça tu n'y touches pas, attend un peu avant de rouler tu auras plus de plaisir après avoir attendu". J'ai exécuter ses ordres. J'ai attendu.
Aujourd'hui, ça doit être bon, je le sens bien. Je peux me lancer j'ai demander des informations à mes supérieurs, à des amis sur comment rouler , que faire. On m'a très bien renseigner je suis rassuré. Je m'avance, je me sens vraiment petit à côté de cette bête, à côté de mon jolie betra comme on l'appelle qui n'attends qu'un seule chose que je démarre et fonce.
J'entre dans le betra, je le démarre qu'elle sensation. Qu'elle gloire. Je suis bien assis, je me sens bien ici, je pense déjà avoir trouver ma voie sur Mars. Mais attendons de voir ceux que me réserve cette bête. Je me lance j'appuie sur l'accélérateur. ça décoiffe, ça change sur Mars ça me rappelle ma vie sur terre rouler, rouler et toujours rouler sauf qu'ici aucune route , aucun grand bâtiments, aucun contrôle. Une immense liberté sur cette planète et j'aime ça. J'aime déjà le betrayal alors que j'ai même pas encore quitter ma zone. J'avance , j'admire ce paysage vaste. Ça change de la vue de la fenêtre du bunker.
J'accélère un coup, je fonce j'aime ça. Je ne veux pas arrêter, je ne veux pas me renfermer dans mon bunker mais il le faudra bien un jour, mais pour ressortir après j'en suis maintenant sûr. Je croise quelques personnes dans leur betrayal. Des rapides qui me salue avec un signe de la main, des plus lent comme moi qui engage la discussion. Je ne m'arrête pas je dois continuer jusqu'à ma zone choisie pour mon arrêt. Je mange mes ratio et regarde par la fenêtre. De temps en temps, je surveille quand même mon betrayal et mon compteur qui affiche toujours 125 km/h rien que cette vitesse me plaît déjà et j'aurais tout le temps sur mars de me perfectionner. J'arrive sur ma zone à 50 km de mon bunker. Je n'ai pas voulu aller trop loin on sait jamais. Je décide donc de retourner à mon bunker plein de rêve, plein d'espoir. Avec des yeux d'enfants , qui brille devant la beauté de cette planète. Je rentre enfin à mon bunker. Je prend soin de bien renter mon betrayal on m'a déjà dit que les putréfacteurs veille, je ne veux pas perdre cette jolie machine qui est maintenant la mienne qui est ma voie. Les baroudeurs ont m'en a parlé je l'ai adopter. Je rentre dans mon bunker, fatigué je vais m'allonger avant de repartir à la dur vie du quotidien la creuse. Mais je le promis je ressortirai en betrayal. Ce que j'ai fait plus d'une fois depuis cette sortie. Je roules maintenant plus vite, je suis mieux équipé mais j'ai toujours la même joie de sortir en betrayal. Baroudeurs cette voie sera la mienne.